GEDEON BERGERON
 1896 A  1923
 
 De Delphine Côté et d'Odias Bergeron, résidents de St-Nicolas, le 3 février 1986 naissait un premier enfant auquel ils donnèrent le nom biblique de Gédéon. Il est devenu très vite responsable de ses frères et soeurs, car la famille grandissait rapidement. Il devait très tôt apporter son aide pour les travaux de la terre.

 A cette époque, la coutume était que le père fabrique sa boisson<< caribou, bagosse>>. Odias se faisait une réserve pour les fêtes et les événements à célébrer, mais les jeunes se permettaient d'y goûter en cachette et y prenaient goût.

 En 1917, à l'âge de 21 ans, aîné de 12 enfants, Gédéon était recruté par l'armée canadienne, car en temps de guerre, l'enrôlement était obligatoire. Les fils de cultivateurs étant les derniers appelés, son service militaire fut de courte durée. Le 1er décembre 1917, il subissait un examen médical à Saskatoon, le classant A2. Son enrôlement a été du 20 juin 1918 au 5 décembre 1918, date de sa libération, la guerre étant terminée et le traité de paix signé.

 La vie était plus trépidante en service militaire et à la ville que dans le calme de la campagne. Gédéon aimait la compagnie d'amis pour jaser d'armée et de politique. Il a développé ce goût en travaillant dans une salon de barbier où il a appris son métier.

 Alors qu'il rendait visite à un ami, Albert Latulippe, résident de St-Nicolas, Gédéon fit la connaissance de sa soeur Marie-Jeanne, venue aider sa belle-soeur qui venait d'accoucher. Gédéon rivalisait avec son frère Wilfrid, multipliaient leurs visites chez Albert afin de rencontrer Marie-Jeanne. Un dimanche après-midi, Wilfrid attela le cheval et voiture pour aller voir Marie-Jeanne, cependant lorsque ce dernier alla se préparer, Gédéon bien habillé, séduisant, ne perdit pas une minute et s'empressa de monter dans la voiture et partit voir Marie-Jeanne, défendant son droit d'aîné au grand désarroi de Wilfrid.

 Attiré par cette fille de la ville de Québec, Gédéon lui proposa le mariage en lui demandant une réponse à une date précise. Après une réponse affirmative, Gédéon courtisa Marie-Jeanne qui était revenue à la ville. Gédéon avait alors 27 ans. De 1923 à 1927 il eut un salon de barbier au 5 rue Thibaudeau. En 1924 et 1925, il résidait au 113 rue Bagot. En 1925 1926 il demeurait au 10 rue Sous le Cap dans le quartier  Notre-Dame des Victoires.
 

 GEDEON BERGERON

 1896 A 1923

 De Delphine Côté et d'Odias Bergeron, résidents de St-Nicolas, le 3 février 1986 naissait un premier enfant auquel ils donnèrent le nom biblique de Gédéon. Il est devenu très vite responsable de ses frères et soeurs, car la famille grandissait rapidement. Il devait très tôt apporter son aide pour les travaux de la terre.

 A cette époque, la coutume était que le père fabrique sa boisson<< caribou, bagosse>>. Odias se faisait une réserve pour les fêtes et les événements à célébrer, mais les jeunes se permettaient d'y goûter en cachette et y prenaient goût.

 En 1917, à l'âge de 21 ans, aîné de 12 enfants, Gédéon était recruté par l'armée canadienne, car en temps de guerre, l'enrôlement était obligatoire. Les fils de cultivateurs étant les derniers appelés, son service militaire fut de courte durée. Le 1er décembre 1917, il subissait un examen médical à Saskatoon, le classant A2. Son enrôlement a été du 20 juin 1918 au 5 décembre 1918, date de sa libération, la guerre étant terminée et le traité de paix signé.

 La vie était plus trépidante en service militaire et à la ville que dans le calme de la campagne. Gédéon aimait la compagnie d'amis pour jaser d'armée et de politique. Il a développé ce goût en travaillant dans une salon de barbier où il a appris son métier.

 Alors qu'il rendait visite à un ami, Albert Latulippe, résident de St-Nicolas, Gédéon fit la connaissance de sa soeur Marie-Jeanne, venue aider sa belle-soeur qui venait d'accoucher. Gédéon rivalisait avec son frère Wilfrid, multipliaient leurs visites chez Albert afin de rencontrer Marie-Jeanne. Un dimanche après-midi, Wilfrid attela le cheval et voiture pour aller voir Marie-Jeanne, cependant lorsque ce dernier alla se préparer, Gédéon bien habillé, séduisant, ne perdit pas une minute et s'empressa de monter dans la voiture et partit voir Marie-Jeanne, défendant son droit d'aîné au grand désarroi de Wilfrid.

 Attiré par cette fille de la ville de Québec, Gédéon lui proposa le mariage en lui demandant une réponse à une date précise. Après une réponse affirmative, Gédéon courtisa Marie-Jeanne qui était revenue à la ville. Gédéon avait alors 27 ans. De 1923 à 1927 il eut un salon de barbier au 5 rue Thibaudeau. En 1924 et 1925, il résidait au 113 rue Bagot. En 1925 1926 il demeurait au 10 rue Sous le Cap dans le quartier  Notre-Dame des Victoires.
 

 MARIE-JEANNE

 1901 A 1923
 De Narcisse Latulippe et d'Amanda Malouin, à St-Sauveur de Québec, naquit le 30 juin 1901 Marie-Jeanne Alphonsine, 7e enfant de la famille. Dès sa plus tendre enfance, en 1905, la famille déménagea à Chatham, au Nouveau-Brunswick. Son père, ferblantier, plombier et couvreur de métier, qui travaillait spécialement sur les toits d'églises, était souvent appelé à déménager.

 Dans les années 1913 à 1915, la famille habitait à Sts-Anges de Beauce. A 12 ans, Marie-jeanne dû s'absenter de l'école pour aider sa mère qui s'était cassé une jambe. Il y avait déjà 6 enfants plus jeunes que Marie-Jeanne. Sa soeur aînée, Valéda, travaillait à l'extérieur et se maria le 11 mai 1914. Marie-Jeanne n'avait pas 13 ans qu'elle avait déjà de grosses charges pour son jeune âge.

 
 De retour à Québec, encore jeune et ayant à coeur de travailler, Marie-Jeanne fut aide couturière à la Dominion Corset et obtint cet emploi l'entremise d'une amie de sa mère. Plus tard, elle travailla à la cartoucherie dans la Côte du Palais (dans les munitions de guerre) et par la suite elle fut écraseuse dans une manufacture de chaussures. Elle dû quitter ce travail devenu trop dur pour elle selon le médecin.

 Par l'entremise de la contre-maîtresse de la Dominion Corset, elle fut engagée comme couturière et on lui confia une machine à sept aiguilles. Ce travail devenant pénible pour sa santé, elle songea à quitter son emploi mais on lui proposa d'être contre-maîtresse d'une équipe. Elle accepta cet emploi jusqu'à son départ pour se marier.

 Au temps de la grippe espagnole en 1918, alors qu'elle avait 17 ans, après son travail, Marie-Jeanne se rendait ici et là pour assister des malades sans danger pour sa santé. C'était une façon de faire du bénévolat. Elle apportait son lunch et mangeait au besoin pour combattre la faiblesse et la maladie.

 Son père, Narcisse Latulippe, a attrapé cette grippe amenée au Canada par les troupes militaires revenant de la guerre. Marie-Jeanne avait 19 ans quand son père décéda, le 5 avril 1920 à l'âge de 49 ans et 6 mois.

 Dans sa destinée, Marie-Jeanne fit la connaissance de son futur époux chez son frère, Albert Latulippe. Après de courtes fréquentations, Gédéon Bergeron lui proposa le mariage. Après consultation avec sa mère, elle donna une réponse affirmative <<OUI>>. Elle avait alors 22 ans.
 
 

 MARIE-JEANNE ET GEDEON

 C'est en l'église de Ste-Angèle de St-Malo de Québec que le 10 décembre 1923 se sont mariés Gédéon Bergeron et Marie-Jeanne Latulippe. C'était une belle journée ensoleillée, rues et trottoirs étaient sur l'asphalte. Après la célébration, les mariées ont poursuivis la noce à St-Nicolas. A leur retour à Québec, la neige était au rendez-vous. Ils se sont établis à Notre-Dame des Victoires. Ils ont aussi habités dans les quartiers St-Malo, St-Joseph, St-Sauveur, Sacré-Coeur, Québec-Ouest, devenu par la suite, Ville de Vanier, et entre temps aussi à St-Jean Deschaillons. Le 9 novembre 1924, ils eurent leur premier enfant, un garçon, du nom de Fernand. En 1932, étant au chômage, Gédéon applique pour un emploi comme barbier, à St-Jean Deschaillons, dans le comté de Lotbinière Ils déménagèrent avec leurs enfants. C'était au temps de la crise. Il y avait plus de clients lorsque les barges s'arrêtaient sur la voie maritimes du fleuve St-Laurent.

 En 1933, ils revinrent s'établir à St-Sauveur avec leur 7 enfants. En 1936, résidant dans la paroisse du Sacré-Coeur, Gédéon soucieux de subvenir aux besoins grandissants de la famille, pensa s'enrôler volontaire dans l'armée.

 De son côté, Marie-Jeanne fut sollicitée pour entrer dans le Tiers-Ordre et promis d'accepter si Gédéon trouvait un emploi assuré. Le Tiers-ordre est un 3e ordre religieux séculier fondé par St-François d'Assise en 1221 et adapté pour les gens vivant dans le monde et désireux de mieux vivre selon l'évangile.

 Une journée en entrant à la maison, Gédéon annonça à Marie-Jeanne qu'il s'était engagé volontaire dans l'armée. C'était pour elle une réponse à sa demande. Marie-Jeanne entra dans le Tiers-Ordre et fut acceptée le 26 avril 1938 et fit profession le 30 janvier 1940.

 En 1938, Gédéon était enregistré comme volontaire dans l'armée et en 1940, reconnu à la hauteur de leur attentes. Le 22 décembre 1942, il faisait partie de l'armée active. Engagé volontaire, il n'ira pas au front mais sera muté successivement à Sherbrooke, North Bay, Port-Arthur, Lauzon, Québec. Il fut entre autre gardien de prisonniers allemands lors d'un voyage à New York. Il venait en congé dans sa famille occasionnellement.

 En 1944, un frère de Marie-Jeanne, Mandoza, s'étant acheté une maison à Québec-Ouest, lui offrit le loyer au 2e étage avec leurs onze enfants. C'est avec joie et soulagement qu'elle accepta son offre car elle attendait son 12e enfant pour le mois de juillet. C'est alors que le 26 avril 1944, la famille déménagea du 148 St-Ambroise au 326 9ième avenue à Québec-Ouest devenu l'avenue par la suite, l'avenue Proulx de Vanier, P.Q. Ne pouvant se déplacer facilement pour suivre les réunions de Tiers Ordres, à Québec, Marie-Jeanne fit la demande qu'une fraternité soit érigée dans la paroisse où elle résidait. On lui confia la charge de faire du recrutement car on exigeait 50 personnes pour pouvoir fonder le Tiers - Ordres dans la paroisse. Elle persista avec une compagne dans la même situation et avec ceux et celles qui étaient déjà Tertiaires, le nombre atteint 60 personnes. C'est ainsi que le 17 février 1946, eut lieu la première cérémonie de Vêtures et de Professions dans la Fraternité Notre-Dame des Anges dont elles étaient les fondatrices. Elle continuait de veiller au grain qu'elle avait semé. Elle initiait les enfants et les encourageait à suivre son exemple. Les inspirants par des cantiques. Avec les années et avec de l'aide à la maison, elle s'engagea dans les oeuvres paroissiales:<< les Dames de la Ste-Famille, les Lacordaires, mais surtout dans la St-Vincent de Paul>>. La prière, les crucifix, les livres de messe, les statues, c'étaient choses familières dans la maison. C'est dans la foi et le respect des autres et de l'autorité, au point de vue des mieux nantis où des moins bien nantis que Marie-Jeanne et Gédéon donnaient l'exemple. La devise de Marie-Jeanne: <<QUAND ON N'A PAS CE QU'ON VEUT, ON CHÉRI CE QUE L'ON A>>. La devise de Gédéon:<< DIEU ET MA REINE>>.

 Après quelques années, son frère fut transféré à Montréal pour son travail et vendit sa maison. Le nouveau propriétaire n'était pas enchanté d'avoir 12 enfants au-dessus de la tête. Les samedis, jour de congé scolaire, Marie-Jeanne avait organisé un atelier afin que les plus vieux qui connaissaient la musique, donnent des leçons de solfège aux plus jeunes capable d'écouter et d'apprendre. Ainsi, il y avait moins de bruit. Une amie venait donner des leçons de piano, 3 jouaient de violon, 2 du piano, 1 de la guitare, et un de la mandoline.

 Marie-Jeanne mûrissait l'idée d'avoir une maison. Un jour elle partit à la recherche d'une maison qu'elle avait vu dans un rêve. Cette maison n'était pas à vendre. A quelques reprise, elle alla rencontrer le fils du propriétaire pour qu'il parle de son projet à son père, sur la possibilité de vendre. Elle parla de son projet à Gédéon qui lui faisait confiance. Elle reçu une réponse affirmative avec des conditions de paiements et un prix satisfaisant. C'était une humble maison à deux étages sise au 269, 11ième avenue, devenue aujourd'hui, la rue Gauvin à Vanier. Elle acheta la maison le 5 octobre 1946 de M. Fidèle Bélanger ce qui fut enregistrée devant le notaire E. Delage. Elle profita de quelques mois avant le déménagement officiel qui se faisait le 1er mai, pour faire des réparations. Elle y fit transporter sa machine à coudre, des lits et quelques meubles. Elle pouvait coudre ses rideaux, ses courtes pointes et les vêtements des enfants tout en dirigeant les travaux que faisait un neveu à un prix très modique. Les enfants étaient heureux de voyager du logement à la maison et quelques-uns d'y faire du camping. Au deuxième étage, deux  petits logements furent aménagés afin d'aider aux paiements de la maison.

 La guerre se termina le 20 février 1945. Gédéon fut démobilisé et ce fut le retour à la maison. On ouvrit un salon de barbier qui par la suite fut converti en salon familial pour le mieux être de lafamille. Les enfants s'en donnaient à coeur joie sans déranger les voisins heureux d'aller et venir dans la maison.

 Le 8 octobre 1949, Gédéon reçu la médaille C.V.S.M.  canadienne des volontaires. Le 14 septembre 1965, la médaille 1939-1945. Quand Gédéon fut pensionné de l'armée en 1956. Marie-Jeanne et Gédéon ont pensé qu'ils pouvaient occuper toute la maison pour le bien-être et la santé de tous et chacun de ceux qui restaient à la maison. Ayant connut les difficultés de la vie courante, des enfants malades et des départs. Marie-Jeanne gardait la joie de vivre avec ses chansons :<<Berceuse de Jocelyn, Ave Maria, Nos Souvenirs, Je t'ai donné mon coeur, Les Flots Bleus, On n'a pas tous les jours 20 ans, l'Hirondelle du Faubourg, la Bénédiction Paternelle>>. Elle encourageait les enfants à chanter et à jouer de la musique reprenant les sons faux.

 Les fêtes étaient animées. On arrivait après quelques verres, et Gédéon se laissait aller à quelques pas de gigues et à chanter Michaud est tombé, un Canadien errant et à St-Malo Beau Port de Mer. Ordinairement il ne parlait pas beaucoup, il aimait le calme à la maison, mais il était heureux de voir la jeunesse bien s'amuser. Son attitude appelait au calme. Il aimait la bonne entente entre les enfants. Quand on lui demandait ce qu'il aimerait en cadeau, il répondait toujours: <<LA BONNE ENTENTE ENTRE VOUS ET LA PAIX>>. Noël était la grande fête. Marie-Jeanne fabriquait parfois des jouets où les rénovait et c'était toujours grandement apprécié. C'était un émerveillement pour les enfants. Du plus petits au plus grands, chacun retrouvait son bas au pied de l'arbre de Noël. Quand ceux qui étaient mariés venaient avec les enfants au retour de la messe de Minuit, on les réveillait et c'était la fête pour tous: réveillon et distribution des cadeaux laissés au pied de l'arbre pendant leur sommeil.

 Au jour de l'An, c'était plus sérieux et cérémonieux.
Au retour de la messe, avant le dîner, Gédéon restait dans sa chambre, le crucifix sur le bord de son bureau, attendant que le plus vieux demande la bénédiction quand tous étaient rassemblés. C'était un moment plein d'émotions pour lui et les enfants. Après on recevait les souhaits des parents et des plus vieux respectant l'échelle des âges. Ensuite, c'était le souper traditionnel du Jour de l'An.

 Après quelques années de maladie à la maison et à l'hôpital Laval, Gédéon décéda le 5 février 1973 assisté des infirmiers et infirmières, d'un prêtre, de sa fille Jeannine et de sa bru Marielle.

 Marie-Jeanne qui avait eu une implantation d'un stimulateur (pace maker) décéda à l'hôpital du St-Sacrement le 18 septembre 1975 assisté par le prêtre, Solange et Noëlla.

 La maison fut léguée par testament aux deux filles célibataires, Solange et Jeannette ainsi que Roland qui avec son épouse Cécile avaient pris soin de Marie-Jeanne et Gédéon et de la maison pendant leur maladie. Ils aidaient Solange et Jeannette.

 Gaudias (Odias) Bergeron résidait dans le 3e rang à St-Nicolas. Il était en 1865 et décéda le 18 août 1929 à l'âge de 64 ans. Delphine Côté, son épouse, native de St-Apolinaire, naquit en 1865 et décéda le 5 janvier 1950.

 La succession fut cédée à Adenon qui vivait avec eux sur la terre, la cultivant avec son épouse Gratia.

 Gédéon plaida auprès de ses frères et soeurs en faveur d'Adenon qui avait pris soin de ses parents, considérant qu'ils méritait d'avoir la terre pour subvenir aux besoins de sa famille, qui se composait alors de plusieurs enfants. Ils y ont élevés leurs 12 enfants dans cette maison sise au 3e rang qui est devenu par la suite le Chemin Demers, avec numéro civique 2255. En 1955, Adenon construisit une maison plus proche du chemin pour répondre à de nouveaux besoins. L'ancienne maison fut transformée en poulailler, mais devenant inutile fut démolie. Gratia décéda le 3 juin 1991 et Adenon le 2 décembre 1992. La succession fut vendue le 6 juin 1993 à M. Normand Samuelsen et Mme Johanne Allison. Par la suite et par hasard, on apprit que ce couple avait un lien de parenté par alliance avec une des filles de Gédéon (sa préféré, comme s'il avait voulu qu'elle se retrouve sur sa terre natale).
 


 
 

LA FAMILLE DE GEDEON
et de
Marie-Jeanne
Bergeron
 
 

 JEANNETTE BERGERON
Née le 20 novembre 1925 à Québec.

FERNAND BERGERON
              Ne le 09-11-1924                   Mariage: 13-06-1953
avec
THERESE ENNIS
Nee le 10-08-1928
Denis, Nicole et Louise
Petits enfants
Melanie , Sebastien, Jean-Francois, Laura

RAYMOND BERGERON
                Ne le 30-03-1927                  Mariage: 07-08-1956
avec
CLAUDETTE MENARD
Nee le 20-02-1936
Serge, Robert, Manon, Carolle, Michel, Andree
Petits enfants
David, Martin, Sophie, Charles, Mathieu, Pierre

JEANNINE BERGERON
         Née  30-03-1928                    Mariage: 24-06-1948
 avec
 GEORGES-ALBERT NADEAU
Né 15-01-1927
Robert, Marjolaine, Ginette,
Mariette, Louise et Francois
Petits enfants
Steeve, Claudia-Kathleen, Maryse, Sebastien, Nicolas

MARIE-CLAIRE BERGERON
         Née 26-08-1929                               Mariage: 23-09-1961
 VICTORIN LEMIEUX
Né 19-04-1936

ROLLAND BERGERON
           Ne le 13-03-1931                             Mariage: 26-07-1958
avec
CECILE LEMIEUX
Nee le 10-10-1932
Johane et Mario
Petits enfants
Valerie, Sarah, Raphael

NOELLA BERGERON
            Née 22-12-1932                        Mariage: 18-07-1959
 avec
 JEAN-CLAUDE DESLAURIERS
Né 02-04-1933

JEAN-MARIE BERGERON
                Ne le 12-01-1935                      Mariage: 27-06-1970
avec
ROSE-AMIE MARTEL
Nee le 13-11-1928

JEAN-CLAUDE BERGERON
                  Ne le 25-06-1936                    Mariage: 25-10-1964
avec
MARIELLE BRISSON
Nee le 29-03-1939
Christian , Richard, Marie-Claude
Petit fils
Kris-Anthony

 SOLANGE BERGERON
             Née 20-02-1939                     Mariage: 27-06-1980
 avec
 JACQUES DAUPHIN
Né 31-07-1925

LOUISETTE-HELENE BERGERON
             Née 22-06-1940                          Mariage: 17-09-1960
 avec
 JEAN-CLAUDE LABBE
Né 18-09-1941
Michel, Jacques, Pierre
Petits enfants
Audrey, Benoit, Catherine, Laurence, Samuel, Elisabeth

MARC-ANDRE BERGERON
                Ne le 25-07-1944               1er Mariage: 07-05-1966
avec
MICHELE QUIRION
Nee le 08-05-1944
Nathalie et Martin
Petite fille
Laurie

2ieme mariage
avec
MARIELLE BRISSON
Nee le 29-03-1939